Célérité
Le temps d’écrire un doux message
à l’Infini,
l’oiseau que j’avais mis en cage
est reparti.
Soliloques du désespoir
il s’est enfui ;
course folle à broyer du noir
le soleil luit.
La parole a quitté le livre
au crépuscule ;
la page est blanche de sons ivres
qui basculent.
Le temps d’écrire un doux message
à l’Infini,
l’oiseau que j’avais mis en cage
est reparti.
Soliloques du désespoir
il s’est enfui ;
course folle à broyer du noir
le soleil luit.
La parole a quitté le livre
au crépuscule ;
la page est blanche de sons ivres
qui basculent.
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