mercredi 22 avril 2009

poème

Seuls tes yeux me chavirent
Vers un ailleurs
Où le ciel et la mer
Sont joints à l’infini.

Ton regard me saisit
A l’éclat d’un mirage
Comme s’effacent en rêves
Une féerie d’univers

Lorsque tu te replies
Au-dedans de l’extase
Et me laisse sevré
D’espaces infinis.

Ô lointain pays de tes yeux
Où ma patience se déroule
Où mon espoir se réverbère
Pour sentir en nous s’apaiser
Le ressac des mers et des océans.

Goûter en toi
la trêve des gouffres
Le repos des volcans.

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